Confession DUn Hétérosexuel Homo Partie 1
Jai une vie assez normale : tantôt célibataire, tantôt en couple avec une femme, situation professionnelle stable, vie sociale dans la moyenne
Mais il y a une part de moi que je cache à tout le monde, même à la femme qui partage ma vie le cas échéant. Cette part de moi est une facette de ma vie sexuelle. Jai beau avoir une sexualité plus ou moins épanouie avec les femmes, régulièrement je dois satisfaire mes démons.
Mes expériences sexuelles passées, que je vous ai en partie racontées, ont marqué lhétérosexuel que je suis et en ont fait un bisexuel occasionnel ; occasionnel, mais qui va simposer à moi régulièrement. En effet, quand les plaisirs que jai ressentis en couchant avec ces différents mâles me reviennent à lesprit, je ne peux plus penser à autre chose tant que je nai pas retrouvé la chaleur du corps dun autre homme. Alors, toutes les parties de jambes en lair avec des femmes me paraissent fades, et ce tant que je nai pas moi-même écarté les cuisses.
Car au cours de mes expériences passées avec les hommes, jai été plus souvent passif quactif. Dabord dans le cadre de mon initiation avec les hommes, puis par jeu, jai développé le goût de déshabiller mes hommes, de sucer leur queue et de me faire sodomiser.
Mais plus que le goût du simple rapport avec les hommes, cest le désir, voire le besoin, de me faire dominer par eux. Ce goût de la soumission mest venu avec mon initiateur qui a fait de moi sa poupée de baise et qui a ancré ce sentiment en moi. Il ma fait ressentir ce que cest dappartenir à quelquun dautre que soit même et de ne penser quau plaisir de lautre, plutôt quà son propre plaisir.
Dès lors, quand lenvie de coucher avec un homme « pointe le bout de sa queue », ce nest pas que le plaisir sexuel qui me motive, mais la volonté de perdre tout contrôle, toute volonté et toute retenue. Mon plaisir est maximal quand mon amant me rabaisse, prend les rênes et me domine pour son propre plaisir ; car cest comme ça que jaime baiser avec les mâles.
Comme je vous lai dit, ces envies de luxure homosexuelle se manifestent de temps à autre ; parfois de manière progressive laissant le désir grandir jusquà ce que je ne puisse plus le réprimer, parfois dun coup, à la vue dun homme qui me fait leffet dune bombe. Cest un exemple de cette dernière situation que jai envie de partager avec vous.
Cela sest passé, il y a un mois. Mon dernier rapport avec un homme remontait à une semaine. Il sagissait dun homme mûr que je fréquente de temps en temps, et qui voulait quon joue à labstinence. Abstinence que javais donc imposée à ma copine, prétextant que le boulot se passait pas très bien et que jétais sous pression. Elle avait des doutes, simaginait peut être que je la trompais avec une autre. Mais une fois labstinence terminée avec mon homme, tout était rentré dans lordre. Et je pensais que tout allait se calmer entre nous.
Jétais au café avec ma copine, attendant la fin de la pause déjeuner, montrant que le temps de vache maigre était fini et que tout allait pour le mieux. Normalement, lintervalle entre le dernier rapport et le nouveau est plus long. Cependant jai rencontré un homme qui a réveillé instantanément mes démons. Il était grand, un peu plus que moi, la quarantaine, les cheveux poivre et sel, lallure dun homme qui sait où il va et ce quil veut. Il est entré dans le café et dès que je lai vu, jai eu envie de son sexe.
A partir de ce moment, jai eu du mal à me concentrer sur ma copine et sa discussion ; heureusement elle est bavarde. Je jetais de brefs coups dil à cet homme, assis à quelques tables de nous, essayant de ne pas me faire remarquer par elle, mais de me faire remarquer par lui. Cela a dû fonctionner car nos regards se sont croisés plusieurs fois et il devait sentir le trouble quil provoquait au tréfonds de mon corps.
Il sest dirigé vers les toilettes, mais en se levant, il me fixait. Jai pensé, espéré à une invitation à le suivre.
- « Tu as envie de baiser, petite pute ? »
Il avait un ton assuré et un peu agressif. Javais le souffle un peu coupé par sa main sur mon cou, son corps plaqué contre le mien et toute la tension sexuelle.
- « Oui, jen ai très envie » soupirai-je.
- « Je nai pas le temps de te prendre tout de suite ; alors tu vas retourner à ta table, et ce soir, tu vas me rejoindre chez moi pour toute la nuit. Mais avant, tu vas faire quelque chose ».
Je me voyais déjà en train de le sucer ici. Je me trompais.
- « Je ne vais pas moccuper de ton plaisir ce soir, alors tu te videras les couilles avant de venir chez moi. Tu te feras sucer par ta copine car je ne te le ferai pas ».
- « Comme vous voudrez » dis-je totalement excité.
Il a glissé un papier avec son adresse dans ma main puis il est parti. Jai attendu un peu pour reprendre mon souffle et perdre un peu dexcitation. Je suis retourné à ma table, essayé de porter de lintérêt à ma copine. Le soir venu, je lai convaincue de me faire une pipe, pendant laquelle je pensais à mon futur amant, et en échange je lui ai léché la chatte, en simulant le plaisir que ça me procurait.
Je me suis arrangé pour ressortir le soir, prétextant un boulot urgent à finir, et je me suis rendu à ladresse indiquée. Au pas de la porte, je tremblais de nouveau, terriblement excité. Enfin, jai sonné à la porte.
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